Phạm Duy Khiêm (24 April 1908 – 2 December 1974) was a Vietnamese writer, academic and South Vietnam ambassador in France. He was the son of the writer Phạm Duy Tốn, and brother of songwriter Phạm Duy.

Phạm Duy Khiêm
Born(1908-04-24)24 April 1908
Hanoi, French Indochina
Died2 December 1974(1974-12-02) (aged 66)
Montreuil-le-Henri, France
Pen nameNam Kim
Occupationwriter, critic, teacher, journalist, politician
LanguageFrench
Vietnamese
NationalityFrench Indochina
 France
 South Vietnam
EducationLycée Louis-le-Grand
Alma materUniversity of Toulouse
Period1941–1974
Genrenovel, autobiography
Notable worksDe Hà Nội à La Courtine
Légendes des terres sereines
Nam et Sylvie
Ma mère
RelativesPhạm Duy Tốn (father)
Nguyễn Thị Hòa (mother)
Phạm Duy Nhượng (younger brother)
Phạm Thị Thuận (sister)
Phạm Thị Chinh (sister)
Phạm Duy (younger brother)
Military career
Allegiance France
Service/branchFrench Army
Years of service1939–1940
Battles/warsWorld War II

Paris edit

In Paris at the lycée Louis-le-Grand from 1929 his circle included Léopold Sédar Senghor and Georges Pompidou.[1][2][3] He won the Prix Louis Barthou of the Académie française for the autobiographical novel Nam et Sylvie 1942 under the pseudonym Nam Kim, then the Prix Littéraire d'Indochine in 1943 for Légendes des terres sereines[4] He earned his PhD from the University of Toulouse in 1957.

Ambassador edit

He was briefly ambassador to France for the Ngô Đình Diệm government 1954–1957, but turned down a second appointment as ambassador to UNESCO because of his inability to support Diệm's policies.

Death edit

He committed suicide on 2 December 1974 at his home in Montreuil-le-Henri, Sarthe. In his youth, he had said "one must justify his existence on this earth" (il faut justifier sa présence sur cette terre).

Works edit

  • Việt Nam văn phạm (with Trần Trọng Kim, Bùi Kỷ, 1941)
  • De Hanoi à la Courtine (1941)
  • De la Courtine à Vichy (1942)
  • Mélanges (1942)
  • Légendes des Terres Sereines (1942)
  • La Jeune femme de Nam Xuong (1944)
  • Nam et Sylvie (1957)
  • La place d'un homme (1958)
  • Ma mère

References edit

  1. ^ Ernest Milcent, Monique Sordet Léopold Sédar Senghor et la naissance de l'Afrique moderne 1969 – Page 35 "...Paul Guth, Pierre Courcelle qui sera professeur au Collège de France, Robert Merle, futur prix Goncourt et Robert Verdier, futur député socialiste, un Indochinois, Pham Duy Kiem, et Georges Pompidou qui restera le meilleur ami."
  2. ^ Michèle Le Pavec-Dorsemaine, Alfred Fierro, Josette Masson Léopold Sédar Senghor: exposition , Paris, Bibliothèque nationale 1978 Page xii "Il entre au lycée Louis-le-Grand, où il se liera, en 1929, avec Georges Pompidou et Pham Duy Kiem. 1930. Pâques. Avec Pham Duy Kiem, il découvre la Touraine."
  3. ^ Merry Bromberger Le destin secret de Georges Pompidou 1965 Page 50 "Un dandy, murmurent certains. De fait il fume à la chaîne des Lucky Strike, ce qui apparaît, en Khâgne, un luxe de nabab. Le Sénégalais Léopold Senghor avait été sensible, comme le Tonkinois Pham Duy Kiem, à la cordialité que Pompidou ..."
  4. ^ Littératures de la péninsule indochinoise Bernard Hue, Van Minh Tran, Alain Guillemin – 1999 Page 398 "PHAM DUY KHIÊM 1943 : Légendes des terres sereines – Ce recueil paru à Hanoi, couronné par le Prix d'Indochine, attire ... Le roman autobiographique Nam et Sylvie, paru l'année précédente sous le pseudonyme de Nam Kim, lui valut le Prix Louis Barthou de l'Académie française. Etait parue, à Hanoi, en 1944, une légende intitulée La Jeune femme de Nam Xuong... ... type pas toujours présenté sous un jour favorable dans la littérature française qui l'associe à l'actualité coloniale."