Deir Samaan ruins

Deir Simản, (Deir Siman), the monastery of St. Simeon[1] is located on the West Bank, between Deir Ballut and Kafr ad-Dik, just south of Rafat, Salfit.

In 1838 it was noted as a ruin by Robinson and Smith.[2]

In 1870 Guérin described it: "I first examine a beautiful square speaker, which measures about 1.6 steps on each side. It was built with superb blocks very regularly cut and most of them raised in bossage. Whole sections, perfectly preserved, are still standing; others were overturned, then hastily rebuilt at a later time; others, finally, have remained partly demolished, and the lower foundations are the only ones in place. As for the buildings that filled this enclosure, they were, for the most part, razed and, in the middle of their rubble, the fellahs of the surroundings planted tobacco. Some sections of columns and a stone marked with a cross, called Maltese cross, because it was adopted by the order of that name, but, in reality, of very ancient origin among the Christian nations, especially in the East, seem to have belonged to a chapel totally destroyed."[3]

In 1873, the PEF's SWP visited and noted "A building similar to Deir el Kulah (pp 315-318), but less well preserved, being razed to the foundations. The area enclosed is a rectangle, 135 feet east and west by 125 north and south, with a smaller rectangle on the north-east, 50 feet north and south, 77 feet east and west. Adjoining this on the west are two rock-cut tanks, 30 feet long.

The chapel appears to have been towards the south, and had a bearing 82°. The traces of various other chambers can be made out. The most curious detail is on the north, where is a rock platform with a circular bath, 2 feet 9 inches deep, 14 feet diameter ; three steps lead down into it, and immediately west is a tomb of the kind called rock-sunk,' as at Iksal. The steps are 8 feet 2 inches wide, 2 feet 6 inches tread, 8 inches rise.

Two pillar shafts were found, with a double fillet round the end, and a small vault exists at a lower level. One cross was observed. A portion of the wall was measured, consisting of drafted masonry on the outside. This is a good instance of the general character of the Byzantine masonry.[4]

Not surveyed in modern times,[5]

References

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  1. ^ Palmer 1881, p. 221
  2. ^ Robinson and Smith, 1841, III, p. 126
  3. ^ Guérin, 1875, p. 124-125: A sept heures vingt minutes, après une ascension laborieuse le long de pentes assez escarpées et hérissées de broussailles, nous faisons halte sur un plateau élevé, où des ruines importantes me sont désignées sous le nom de Deir es-Sema'an. (couvent de Siméon). J'examine d'abord une belle enceinte carrée, qui mesure environ 1.6 pas sur chaque face. Elle a été construite avec de superbes blocs très-régulièrement taillés et la plupart relevés en bossage. Des pans tout entiers, parfaitement conservés, sont encore debout; d'autres ont été renversés, puis rebâtis à la hâte à une époque ultérieure; d'autres, enfin, sont restés en partie démolis, et les assises inférieures sont seules en place. Quant aux constructions qui remplissaient cette enceinte, elles ont été, pouda plupart, rasées et, au milieu de leurs décombres, les fellahs des environs ont planté du tabac. Quelques tronçons de colonnes et une pierre marquée d'une croix, dite de Malte, parce qu'elle a été adoptée par l'ordre de ce nom, mais, en réalité, d'origine fort ancienne parmi les nations chrétiennes, surtout en Orient, semblent avoir appartenu à une chapelle totalement détruite.
    En dehors de l'enceinte, vers le nord, des batiments légèrement votîtés en ogive, servant actuellement d'étables à bœufs, datent d'une époque hien postérieure à celle de la fondation de ce couvent fortifié.
    De ce même côté règne une plate-forme autrefois pavée en mosaïque, comme l'attestent un grand nombre de petits cubes blancs épars çà et là, et qui aboutissait à deux vastes hirkets rectangulaires, en grande partie creusés dans le roe et bâtis avec des blocs très-puissants, là où le roc faisait défaut. A l'est de ces bassins et à un niveau un peu plus élevé, j'en remarque un troisième, de forme circulaire, mesurant 15 pas de diamètre. Celui-ci communiquait avec les deux précédents au moyen d'un petit canal pratiqué dans le roc. Indépendamment de ces trois birkets, plusieurs citernes, également creusées dans le roc, recueillaient les eaux pluviales et alimentaient le deir. Enfin, au sud de la même enceinte, un qua- trième birket paratt avoir été une ancienne carrière, ainsi que les trois autres, qui, après avoir été excavés pour en extraire des pierres de construction, ont été régularisés dans leur forme et utilisés comme réservoirs.
  4. ^ Conder and Kitchener, 1882, SWP II, p. 319ff
  5. ^ Finkelstein and Lederman, 1997, I, p. 266

Bibliography

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