I) Consensus

Carte établie sur tous les critères de linguistes et autres spécialistes de l'auvergnat, elle inclut en partie les territoires où il y a consensus :

• Intégralité du Puy-de-Dôme
• 2/3 du Cantal hormis la zone aurillacoise.
• Les 3/4 de la Haute-Loire.
• La Montagne Vivaroise en Ardèche.
• Le plateau de Noirétable dans le département de la Loire

II) Zones supplémentaires

Mais cette carte ayant pour but de montrer l'aire linguistique maximale de l'auvergnat prend également en compte d'autres territoires :

• La moitié ouest de l'Ardèche, (cf. M. Van den Bosche, 2000).
• Les 2/3 nord de la Lozère, (cf. M. Van den Bosche, 2000).
• L'Yssingelais, (cf. P. Bonnaud, K.-H. Reichel).
• Des zones méridionales au sud et sud-ouest du département de la Loire (cf. P. Bonnaud)
• La moitié Est de la Creuse à l'Est du cours de la rivière Creuse (qui correspond au tiers sud-est de la Creuse présent dans le consensus (voir Carte du dialecte limousin réalisée par l'IEO Limousin : File:Carte_occitan_limousin.svg) auquel s'ajoute la partie orientale de transition avec la langue d'oïl que l'on nomme "Croissant" : P. Bonnaud/K.-H. Reichel)
• Bande méridionale au sud des départements du Cher et de l'Indre, par le critère précédent.
• Moitié occidentalo-méridionale de l'Allier arvernophone (dont F. Fontan pour la moitié est du département de l'Allier, Simone Escoffier pour la moitié est de ce dernier , etc.) mais connaissant de fort traits de transition avec le français (langue d'oïl).